Mon dépucelage en BRS

Bonjour Compagnons ,

Voici un résumé de mes sensations lors de ma 1ère Cyclo

Beaucoup de participants en cette belle matinée, d’après un cycliste voisin entre 600 et 700 à vérifier !

1er surprise : si un départ neutralisé sur 15km se fait à plus de 40km/h alors je déteste ce genre de départ . Evidemment on est pris dans le sillage de ce TGV et on s’accroche en espérant que cette allure ne dure pas trop longtemps (tu parles !!!).
Vent-vent-vent et dès lors qu’il souffle à 50km/h ça fait mal . Comme vous le savez, les bordures n’ont eu aucune pitié pour moi, ni les coureurs pardi. Mais j’ai remarqué aussi que beaucoup se cachent et peu prennent les relais, pour ma part malgré mon côté fou fou (aux dires de certains) j’ai pris au début du plaisir à parfois me mettre devant et emmener le peloton ; pas très intelligent comme tactique mais grisant …

1er déception : Suite à ce départ de dingue, mes mollets n’ont pas supporté, rapidement des pics de crampes ont fait leur apparition(Cela m’a rappelé la 1ère fois que je me suis essayé au rythme du 1er groupe du CCO, les crampes m’avaient empêché de finir la sortie). Mais je m’accrochais à mon mini-peloton tant bien que mal.

2ème déception : A 20km de l’arrivée environ lors d’une belle bosse, alors que j’étais bien installé dans un groupe en compagnie de Polo et de notre président, un de mes mollets me trahissait (crampe fulgurante); j’ai même dû mettre pied à terre pour remettre mon capteur qui frottait contre les rayons de ma roue.
Par la suite, j’ai essayé de gérer…seul contre le vent (encore lui), franchement une sacré galère .

2ème surprise : Alors que j’avais passé la ligne d’arrivée, je coupais donc mon effort, un groupe de forcené (une bonne quarantaine) me passait devant pour présenter leur n°de dossard avant moi. A SAVOIR LORQUE QUE VOUS PASSEZ LA LIGNE D’ARRIVEE, VOUS N’ETES PAS ARRIVE POUR LE CLASSEMENT!!! Encore ce manque d’expérience qui commence vraiment à me prendre le chou...

Globalement à l’arrivée un peu déçu de mes mollets et de ce final gâché mais j’étais tellement heureux d’avoir pu faire et finir ma 1er Cyclo. Mais quand j’y pense, quel vent !!!

Les classements devront arriver incessamment sous peu…Mais je sais que Polo et Eric ont réalisé une belle performance.


A+ les pti loups…
NDC

Un dépucelage fait toujours plus ou moins mal. Alors c’est normal. En tous les cas tu as eu de la chance, car une BRS qui commence sur un départ neutralisé, c’est du pain béni. 40 km/h, si tu avais participé à la Stéphane Roch tu aurais facilement rajouté une bonne dizaine de km/h. mais je me dois de te féliciter, car arrivé à 20 bornes de la fin en compagnie de nos amis JP et Eric, c’est la classe. Il faut maintenant que tu prennes des cours avec Francesco, c’est le seul d’entre nous qui connais le gout des pneus, tellement il les suce. Sa langue est un placard publicitaire en matière de pneus.
Bravo ma poule.

Salut


Je rejoins David et je te confirme qu'à 40 km/h le départ est neutralisé ! c'est plus souvent 50 55 Pour les crampes c'est normal il faut boire beaucoup avant le départ et comme les sorties du Dimanche sont loin d'être violentes je te conseille de prendre des grands relais appuyés 1 ou 2 km histoire d'habituer ton organisme à forcer puis tu relâche pour reprendre les roues et tu recommence 2 ou 3 km etc... tu te place toujours dans les 4 ou 5 premiers du groupe comme ça tu n'es pas trop à abris donc tu reste en prise
Attention cette méthode va te faire flinguer par les rouleurs des derniers 500 m dans la foret de ML mais sur les cyclos où la moyenne est de 40 sur la première heure de course ça va marcher.

A+ Jérôme

Merci David et Jérôme pour vos encouragements et vos conseils .

J'essaierai de les appliquer avec mon peloton favori, le CCO et en espérant éviter leur colère lors de la prise de relais

Sinon une bonne représentation du CCOà la 77 ça ne serait pas sympa? Je me suis également inscrit...

Ps : j'ai oublié de vous signaler que j'ai quand même étais surpris par le rythme très rapide des coureurs dimanche dans les bosses...Un ami champion de VTT m'a donné un conseil; Il m'a dit direct : MAIGRI GROS...Il m'a cassé l'moral

Allez à bientôt les amis

NDC

C'est vrai que ça allait assez vite au départ, mais pas tant que ça tout de même. Et on avait le vent dans le dos... Ce qui était surtout impressionnant c'était la densité de coureurs avec les plus véloces qui remontaient à gauche ou à droite (quand ils ne passaient pas entre les autres!)
Rassure-toi, Stéphane, toutes les cyclos ne partent pas forcément sur ce rythme.
Si tu vas sur la 77, ce sera bien pire, car les routes sont très larges et vous serez plus nombreux.
En 2007, (Jérôme s'en souvient certainement), nous avions été décrochés dès le neutralisé de la Jacques Gouin (on était rentrés après), c'était bien plus rapide qu'hier. Et à la 77, il avait fallu s'accrocher. Pareil sur la Stephen Roche, la dernière en 2007 où on avait roulé à bloc jusqu'à ce qu'on nous fasse faire demi-tour : les motos s'étaient trompées de route

Sur d'autres cyclos, c'est bien plus tranquille, surtout quand il y a du dénivelé derrière...

En tout cas, tu avais l'air de bien t'en sortir dans ces conditions, puisque je ne t'ai doublé que dans la première côte au 15ème km...
Et donc ton pote vététiste a raison

Salut tous,

Toute première fois pour moi aussi sur cette cyclo, et donc mes premières impressions!

J'ai poussé un vrai et grand ouf quand j'ai franchi la ligne! J'ai pris mon pied sur cette cyclo, et me suis vraiment fait mal aussi. Je pèse mes mots.
N'ayant aucun expérience de ce genre de "sortie", j'y suis allé franco dès le départ en ne ménageant pas trop mes jambes. Vraiment génial ces premiers kilomètres à rouler fort sur un beau bitume, pris dans l'élan collectif et l'envie de suivre le rythme. Les autres foncent, alors puisque c'est ça, moi aussi! Je suis dans un groupe, je sors, je passe quelques coureurs dans les premiers faux plats et coups de culs. Que c'est bon. Je me retrouve ensuite entre deux groupes assez espacés. Celui devant trop loin pour le rejoindre seul d'un côté, et pas envie de lever le pied pour me faire rejoindre par celui de derrière non plus. Donc je continue d'appuyer, à mon rythme, et cela dure finalement longtemps. Et le vent qui souffle. Qui fait de plus en plus mal. Seul.
Et puis les kms passent, sans avoir encore regardé la distance depuis le départ sur mon compteur. Je me dit, en commençant à vraiment sentir mes jambes, que ça ne va pas durer longtemps à ce rythme. Je jette un œil au compteur : 60 kms sont passés. Ouh! La fin va être très dure.
Et ce vent qui souffle, souffle, souffle.
Je fini par m'accrocher à un groupe qui me double. Je le suis un moment, et je lâche. Et de nouveau seul dans le vent.
Et encore un autre groupe. Cette fois je me raccroche et me mets bien à l'abri. Fini de jouer les fangio trop exposé. J'arrive à rester dans le groupe. C'est quand même autre chose quand on se planque dans un peloton.
Puis je vois notre ami Guillaume sur le bord de la route. Je m'arrête, fais demi-tour pour remonter à son niveau pour le dépanner au cas où. Hélas, pour lui, je n'ai pas de roue ZIP arrière de rechange sur moi )
Un nouveau groupe se rapproche. Je me remets en selle vite fait et repars avec lui, et j'aperçois Marco dans ce groupe. C'est bon pour le moral de retrouver des connaissances!
Une bosse en ville qui fait mal aux jambes, et en haut, encore et encore du vent. Le moral étant remonté, je me mets devant et prends quelques petits relais avec 3 autres dont notre ami Marco. Et puis l'excès de zèle fini par retomber. Je ne peux plus assurer de relai. En vélo, on ne peut pas tricher!
Quelques kms plus loins, lors d'une toute petite accélération, je ne peux suivre et décroche. Je suis à 2-3 kms environ de la dernière bosse.
Et je resterai seul jusqu'à l'arrivée, 15-20 kms plus loin. Dans le vent. Seul. Agonisant mais m'accrochant tant bien que mal à mon guidon.
Je fini par franchir la ligne, lessivé, heureux, claqué, saoulé par le vent, méga content de terminer et avec le sentiment d'avoir vraiment tout donné.

Mes modestes stas sur mon compteur / GPS :
117.83 kms
30.3 km/h de moyenne (34 sur les 65 premiers kms)
857 m de dénivellé
cadence moy : 86, max : 142
T° moy : 6° (pas chaud tout de même)

En résumé, hyper ravi de cette sortie, dure mais c'est tellement bon!

Et comme axe de progrès perso : travailler la force, travailler, travailler, travailler! Euh, travailler je l'ai déjà dit?

A bientôt sur les routes et bravo à tous les présents pour leur superbe perf! Le CCO était représenté, et ça fait plaisir!!!

(je dit à bientôt sur les routes mais pas tout de suite pour moi, je pars en vacances très loin et ne serai de retour parmi vous qu'en avril ; fait ch... je vais tout reperdre et vous retrouver avec des guiboles trop affûtées pour moi)

A+

Benoît

Jérôme CERINI a écrit:

je te conseille de prendre des grands relais appuyés 1 ou 2 km histoire d'habituer ton organisme à forcer puis tu relâche pour reprendre les roues et tu recommence 2 ou 3 km etc... tu te place toujours dans les 4 ou 5 premiers du groupe comme ça tu n'es pas trop à abris donc tu reste en prise
Attention cette méthode va te faire flinguer par les rouleurs des derniers 500 m dans la foret de ML mais sur les cyclos où la moyenne est de 40 sur la première heure de course ça va marcher.

A+ Jérôme

Ca sent le vécu, ça, Jérôme...
Tu règles des comptes ?

Pareil sur la Stephen Roche, la dernière en 2007 où on avait roulé à bloc jusqu'à ce qu'on nous fasse faire demi-tour : les motos s'étaient trompées de route : cocasse laurent comme fait !!!

Sinon promis l'année prochaine je fais DUKAN

a+

<
682 au départ

Quelques données sur la course depuis mon compteur (Sigma Rox 8.0) :

Distance : 120.70 km (inclus les 4km neutralisés)

Dénivelé : 940 m

Distance de montée : 25.18 km

Pente max : 12%

Pente min : 4%

Altitude max : 171 m

2.8 °C < t° < 12.2 ° dommage que nous ne disposions hier d'un tube de Pitot vu le vent.



Le niveau était très relevé, les nationaux et les élites n'ont pas commencés leurs courses. La Jacques Gouin: un bon moyen pour retrouver un peu d'humilité quand votre compteur est à prés de 50 et que vous êtes, débordés de tous les côtés, jusqu'au moment ou contraint vous laissez partir un fois , deux, trois fois et plus, ensuite c'est plus calme avec le vent .........

Ça fait plaisir de vous lire et aussi ça rend un peu jaloux de ne pas pouvoir être parmi vous. Des cyclo j’en ai fait pendant près de 15 ans j’en ai disputé quelques-unes. Ce que te dit ton « ami » Vttiste n’est pas très sympa voir pas du tout et en plus il a tort sur toute la ligne. Le poids est proportionnel à la physionomie. Si tu maigris de trop « et je sais de quoi je parle » tu n’auras plus la force, la puissance. Donc pondère les propos piquants qui ne veulent rien dire.
Jérôme à plus que raison. Apprends à te mettre devant le dimanche à l’entrainement en emmenant gros sur le plat sans pour cela mettre des accélérations qui ne servent à rien car tu devras ensuite attendre. Prends un rythme enroulé et puissant surtout dans le vent. Pour les cyclo, je maintien, il faut que tu apprennes à te placer.
Il y a toujours une bonnes cinquantaine de kilomètres où il faut serrer les dents, mais lorsque la sélection est faite le rythme se calme significativement. Prendre des relais appuyés dans une cyclo, c’est se faire plaisir en effet, mais c’est surtout une bénédiction pour les autres qui n’auront aucune pitié lorsque tu craqueras. Ne jamais oublier, une cyclo reste une course. Chacun cherche à faire un temps et une place.
En souvenir je parlerais d’une Marcel Bidot dans l’est. À l’époque j’avais 30 ans et à 55 –60 km/h j’étais bien au chaud entouré des frères Simon qui ironisaient à juste titre sur les fêlés qui prenaient des relais la gueule dans le vent. La suite leur donnait raison après 60km du départ, les coteaux avec les belles bosses arrivaient et ceux comme nous qui étaient resté dans le bus bien au chaud les ont monté sans encombre. Après le calme est arrivé dans le peloton et cela m’a permis à l’époque de faire 12ème au scratch. À mon sens, mais cela ne regarde que moi, c’est bien plus gratifiant que de prendre un relai.
Pour finir, je parlerais du plaisir. L’adrénaline du départ, la joie d’être dans les boxes de départ entouré des odeurs de crèmes chauffante. Le coup de pistolet qui annonce le départ et le gymkhana entre les cyclistes peu expérimentés pour remonter le plus haut possible. Une érection pourrait presque poindre !!!!
En tous les cas, continuez ainsi, vous me redonnez gout au vélo.
Sportivement
David

Tu es le Verlaine du CCO .

Quelle plume..

je sais les filles me le disent!!!! hahahaha

Salut à tous

Tu as entièrement raison Laurent c'est du vécu


Quel plaisir de lire ces récits de Cyclos


En une phrase, à l'entrainement je me dépouille en course je me planque


A bientôt sur la route

Salut les pros du CCO!

Je me suis inscrit pour "les copains", à vous lire je ne dis pas que je le regrette déjà mais vos récits, notamment les moyennes sur les premiers kms, m'effraient un peu!
Félicitations à Stéphane (NDC) et à Ben pour cette première.
A dimanche, j'espère.

Bien à vous.

Laurent

Bonsoir les filles.

Ouah! David mais que t'arrive t'il de plus en plus sur le forum, bien ma poupoule je retrouve ta vélocité, sa fait franchement plaisir. Si j'ai bien compris la compète te titille alors bien venu au Club. Et à dimanche peut-être. Polo

Reste à faire la liaison entre le besoin et la faisabilité. Temps que j’aurais la santé d’un fœtus mort-né, je ne me vois pas prendre le départ d’une BRS. Oui à dimanche sur ma chaise roulante

Hi my friends ,

Je te rejoins Jérôme, un vrai plaisir de lire tous ces récits et commentaires du CCO. Maintenant pourquoi pas rêver d'une participation record du Club à une ou quelques Cyclos et........aux courses (petit clin d'oeil à notre capt'ain Francesco, notre étalon italien

Normalement à Dimanche(On compte sur toi David pour tirer le peloton CCO) heue avec ta plume ?

NDC

Alors, maintenant que le gout des cyclos est en vous, que vous allez tous participer à ces manifestations avec de plus en plus de ferveur. Ne serait-il pas temps de penser y faire un spectacle ? Non je ne déjante pas, bien au contraire. Individuellement, vous avez tous des capacités à faire de belles choses. Rouleurs, grimpeurs, tireurs, tout y est. De plus vous avez tous cette motivation, fondamentale pour passer les cyclo sans bobos et y prendre du plaisir. Mais en équipe ? Que serait une BRS en équipe ?
La cohésion, l’entre aide, mais aussi un plaisir décuplé. Car si je lis bien, à chaque fois que vous rejoignez un maillot du CCO, il y a toujours cette espèce de « c’est bon pour le moral de retrouver des connaissances » alors faites-le. Comme les grands clubs, travaillez en équipe. Alors, oui, les plus forts attendrons les plus faibles, mais sur une cyclo, peut-être deux. Ensuite l’émulsion et cette fameuse cohésion fera le reste, vous saurez rouler en équipe et vos temps n’en seront que meilleurs. Gagner n’est pas le travail d’un seul, ne faites pas comme nos politiques « terrain glissant » qui ne jouent que pour eux et souvent regrettent de ne pas avoir mieux fait.
Je me souviens, oui je parle comme un vieux. Les plus belles cyclos, les plus belles courses et mes plus belles victoires, ne furent jamais le fruit du hasard, ce fut à chaque fois parce que nous étions un groupe et que les rôles étaient bien distribués.
Je me demande bien ce que vous pensez de cela ?

Merci David de lancer ce débat. Je m’aperçois que lors d’une cyclo-sportive quand nous avons lutté contre des forces extérieures, je ressens lors de nos retrouvailles ou dans tous les comptes rendu une plus grande cohésion au sein du CCO.
En fait se tirer une bourre contre les autres et un peu moins entre nous nous apportent ce que nous recherchons tous un vrai esprit club.

Oui en effet, c’est ce que nous recherchons tous, mais de manière sous-jacente. De plus, comme je le disais et ce par expérience, « l’ognon fait la sauce » ou « l’union fait la force » comme tu préfères. Un exemple pas trop vieux.
En 2006, nous faisions la Ventoux, nous avons fait la montée en groupe. Pierre, Daniel, Éric et moi. Après la montée du Ventoux, Pierre n’avait que pour seule envie de bâcher en prenant le circuit le plus court. Nous l’avons remotivé et cet esprit groupe a permis à Pierre, non seulement de finir le grand parcours comme prévu, mais en plus d’avoir le brevet d’or. Donc sans le groupe cette belle fin n’aurait pas été. Des exemples comme ça je pourrais en sortir un bon paquet. Ne serait-ce que l’Ardéchoise. En fin de première journée, nous n’avons pas hésité à faire demi-tour dans un col pour remotiver nos amis en détresse et finir la montée en leur compagnie…

Touchant comme exemples David….Mais crois-tu qu’aujourd’hui ce genre d’esprit est en perdition au CCO ?

Pour ma part lors de ce 1er essai en Brs, j’ai reçu 1 ou 2 conseils intéressants de la part d’hommes d’expérience comme Polo et Eric. Il est vrai que retrouver Eric en course puis rejoindre Polo en peloton, cela fait vraiment du bien pas spécialement au niveau sportif mais un réel plaisir de les retrouver.

Sinon un vrai travail d’équipe…je n’en connais pas encore la définition mais j’ai hâte d’en savoir plus

NDC

Oui je confirme, pour le Mont Ventoux, heureusement qu'il y avait les copains, car j'avais déjà pris le petit parcours .

Pour les grandes randonnées (BRS et autres)au bout il y a la carotte (la médaille)

Moi je vois que le dimanche entre nous, chaque groupe est bien solidaire!

Pierre

Oui c'est vrai Pierre, la solidarité est présente...Je n'ai plus peur de crever

NdC bonjour,

Peux-tu m'en dire plus (crever)?? Toi ou le vélo!

Pierre

Bonjour Pierrot ,

Je parlais du pneu....mais quand j'y pense en fait, un peu des 2!!!